Après le western, les cornouailles, le Mexique, Peckinpah ausculte le Front de l'Est, durant la Seconde guerre mondiale. Le réalisateur a choisi de nous monter le conflit, par le biais d'un groupe primaire, une section d'allemands dirigée par James Coburn. L'affrontement sera double :
- contre les soviétiques.
- contre les planqués de l'arrière, les rats d'Etat-Major qui instrumentalisent la guerre pour assouvir leurs ambitions.
Vous aurez compris que l'ennemi n'est pas celui que l'on croit ! Le sergent Steiner aura plus de fil à retordre à lutter contre le Capitaine Stransky, joué par Maximilian Schell, pistoné qui vient glaner une Croix de fer sur le front russe, caché dans son QG de campagne, que contre les soviétiques !
Peckinpah nous montre des soldats allemands fatalistes dont la principale motivation est de sauver leur peau, plutôt que de combattre pour la grandeur de leur Führer ! Une guerre qui dévore jusqu'à l'imaginaire des soldats, incapables de se réinsérer à l'arrière, dépendant de l'esprit fraternel qui règne dans les sections en première ligne et d'une fascination pour la violence ! Tout l'absurdité de la folie des hommes s'épuise dans le rire frénétique de Steiner, à la fin du film, clôturé par un générique de fin désenchanté !
Générique du début ...cliquez ici pour le voir.
Générique de fin ...cliquez ici.
- contre les soviétiques.
- contre les planqués de l'arrière, les rats d'Etat-Major qui instrumentalisent la guerre pour assouvir leurs ambitions.
Vous aurez compris que l'ennemi n'est pas celui que l'on croit ! Le sergent Steiner aura plus de fil à retordre à lutter contre le Capitaine Stransky, joué par Maximilian Schell, pistoné qui vient glaner une Croix de fer sur le front russe, caché dans son QG de campagne, que contre les soviétiques !
Peckinpah nous montre des soldats allemands fatalistes dont la principale motivation est de sauver leur peau, plutôt que de combattre pour la grandeur de leur Führer ! Une guerre qui dévore jusqu'à l'imaginaire des soldats, incapables de se réinsérer à l'arrière, dépendant de l'esprit fraternel qui règne dans les sections en première ligne et d'une fascination pour la violence ! Tout l'absurdité de la folie des hommes s'épuise dans le rire frénétique de Steiner, à la fin du film, clôturé par un générique de fin désenchanté !
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Générique de fin ...cliquez ici.
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