Pour un premier film, Le masque du démon est un coup de maître ! Mario Bava retrouve le charme des films d'horreur Universal, des années 30, les Dracula et autre Frankenstein, qui avaient marqué leur époque par leur esthétisme gothique. Les décors médiévaux, l'image jouant tel Le Caravage avec les clairs-obscurs, vont donner à cet opus une couleur inquiétante et fantastique, qui inspirera, 40 ans plus tard, Tim Burton dans Sa légende du cavalier sans tête, notamment dans sa scène d'introduction, hommage au film de Bava.
Le Masque consacrera Barbara Steele, beauté vénéneuse qui se perdra, par la suite, dans les films de seconde zone.
Le Masque consacrera Barbara Steele, beauté vénéneuse qui se perdra, par la suite, dans les films de seconde zone.
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